"Ich glaube nicht, dass wir uns ganz auf den Wendepunkt einer Trendwende, aber wir sind um den Boden wirbeln. Ich vermute, wir sind sechs bis 12 Monate aus sehen Verbesserungen" bei den Ausgaben.
Je me sentis tout d'un coup l forte d'avoir pu si facilement repartir et m'emp de plonger dans mon pass Je progressais. Certes il y avait parfois des rechutes, le parfum d'une rose qui me rappelait le bouquet qu'il m'avait offert notre premier anniversaire ou la vue de la p o j'avais l'habitude d'aller lorsque j'avais r signer un gros contrat. Je sentais encore le go des macarons sur ma langue, moi qui me nourrissait d que de pain pas toujours frais et de l trouv dans les poubelles pr des march Au d honteuse, je m' rapidement adapt cette nouvelle vie. Question de survie. J'avais vite appris conna les habitu ceux qui tra toujours autour des m bancs, qui attendent que les marchands soient partis pour se pr sur les tomates ab ou les salades d On m'avait dit en mon histoire : Tu n'es pas des n ta place n'est pas ici. Tu as fait des tu as une famille quelque part, s des gens sur qui compter. Tu peux retravailler, reconstruire ailleurs ce que tu as perdu ici. Mais je ne voulais pas les ma vie ici, sur ces bancs tagu autour des ces poubelles de fruits g dans ces ruelles sombres aux odeurs d'urine. Et puis Rose, une vieille femme aux cheveux blancs qui toujours au rendez vous du march m'avait dit : C'est ta punition, celle que tu t'infliges jours apr jours pour ne pas avoir p le sauver. Un jour tu seras pr te pardonner, et ce jour l tu pourras reprendre ta vie. Ce qui me rendais si l ce n' pas la joie d'avoir r quitter cette rue maudite c' l'absence de mon fardeau. Mais dans ce sac j'avais toute ma vie, des photos, des lettres, un livre lu mille fois, une une paire de lunettes et tout un tas d'autres choses essentielles ! Il fallait que je retourne sur mes pas et que je retrouve mon sac. La rue n' pas loin et soudain je l'aper sur le banc. Courant presque je ne le quittais pas des yeux quand un enfant s'approcha de lui et je sentis mon c s'arr Ses cheveux bruns, ses yeux p son teint h et son sourire On aurait dit lui. Celui que j'avais perdu, celui qui m'emp de m'endormir quand les souvenirs revenaient. Je m'approchai et lui demandai son nom.锘縇e saccage imp茅rialiste des richesses de l'Afrique